Khazars / Juifs (autoproclamés) …. Moise / Isaie / Paul / Jésus / etc …

Connaissez vous les khazars ?? ils représentent le gros des troupes du lobby sioniste & bien sûr, ils n’ont rien à voir ni avec le roi David, ni avec le roi salomon, ni avec Jésus, ni avec le judaisme de la Thora pourtant ils adorent se faire passer pour des personnes de race sémite ! Pourquoi ?

Certains les appellent la 13ème tribu convertie au Talmud & d’autres encore la « synagogue de Satan » !

Déjà commençons avec une lecture eschatologique/théologique avant de s’attaquer à l’Histoire plus matérialiste:

Quelle est la signification de « synagogue de Satan » mentionnée dans Apocalypse 2 :9 et 3 :9 ?

Le mot « synagogue » vient du mot grec sunagoge (assemblée ou église). La « synagogue de Satan » est une assemblée ou une église composée de personnes qui disent « être Juifs mais ne le sont pas ». Dans le contexte donc, l’utilisation du terme « Juifs » a une connotation spirituelle (et non tribaliste/racialiste) .

Tout comme l’apôtre Paul l’a dit dans Romains 2 :29, « … Mais le Juif, c’est celui qui l’est intérieurement ; et la circoncision, c’est celle du coeur, selon l’esprit et non selon la lettre ». Donc, ce n’est pas notre patrimoine génétique qui est important ici mais plutôt notre état spirituel comme l’indique Galates 3 :27-29 : « vous tous, qui avez été baptisés en Christ, vous avez revêtu Christ. Il n’y a plus ni Juif ni Grec, il n’y a plus ni esclave ni libre, il n’y a plus ni homme ni femme ; car tous vous êtes un en Jésus-Christ. Et si vous êtes à Christ, vous êtes donc la postérité d’Abraham, héritiers selon la promesse ». 

Je vous renvoie aussi aux évangiles de Matthieu chapitres 23 pour compléter les propos que tiens Paul sur ce sujet

http://bible.catholique.org/evangile-selon-saint-matthieu/3203-chapitre-23

avant de continuer il est important de comprendre la parabole  (soit disant antisémite) du « juif errant »  et expliquée par le Rav Ron CHAYA, un rabbin talmudique ici.

le problème étant que si ce sujet est abordé par un goy/gentil , ce dernier sera considéré comme un vilain antisémite nazi mangeur d’enfants (point Godwin)  et pourtant tout ceci est factuel et même enseigné en écoles talmudiques.

si il y a eu une « nouvelle alliance » c’est que l’ancienne ne tenait plus la route … et je parle là de la « critique réelle » des actions des autorités rabbiniques à cette période (Sanhédrin).

Je tiens vraiment à préciser à ce moment précis que Jésus confirme la Loi (Torah), cite même des passages et des prophètes comme Isaïe, Moise par exemple, donc il n’est pas question là de chercher une quelconque division (qui je le répète et le fait d’ignorants ou d’hypocrites)

un bon exemple en complément de Matt. 5:17 cité plus haut :

Tu aimeras ton prochain comme toi-même. Je suis l’Éternel . lévitique 19

Maître, quel est le plus grand commandement de la loi?Jésus lui répondit : Tu aimeras le Seigneur, ton Dieu, de tout ton cœur, de toute ton âme, et de toute ta pensée.C’est le premier et le plus grand commandement.Et voici le second, qui lui est semblable: Tu aimeras ton prochain comme toi-même. De ces deux commandements dépendent toute la loi et les prophètes. Matthieu 22:36-40

L’apôtre S. Paul rappelle ce lien avec la loi :

 » Celui qui aime autrui a de ce fait accompli la loi. En effet, le précepte : tu ne commettras pas d’adultère ; tu ne tueras pas ; tu ne voleras pas ; tu ne convoiteras pas, et tous les autres se résument en ces mots : tu aimeras ton prochain comme toi-même. La charité ne fait point de tort au prochain. La charité est donc la loi dans sa plénitude  » (Rm 13,8-10).

Isaïe

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Isaïe vécut 700 ans avant la naissance du Christ . Isaïe est considéré comme l’un des quatre grands prophètes, avec JérémieÉzéchiel et Daniel (non pas du fait de la longueur de leurs livres mais à cause de la précision de leurs prophéties sur la venue du Messie) . Le prophète annonce la naissance du Messie, d’une Vierge, et avec une clarté particulière, il décrit les souffrances du Messie pour les péchés du monde. Il prévoit sa résurrection et la diffusion universelle de son Église.

« Il rend témoignage de nos péchés et est frappé pour nous …. Il était blessé pour nos péchés et torturé pour nos péchés. Le châtiment de notre monde est tombé sur lui, et c’est par ses meurtrissures que nous sommes guéris .. ..  » (Isa. 53: 4-5) 

Voir aussi Isaïe:. 7:14, 11:1, 9:6, 53:4, 60:13

Je vous renvois aussi à ces 2 centralisations de passages de l’ancien testament où la venue du Christ est très clairement annoncée : http://amourdejesus.free.fr/apologetique/jecs31.htm / http://www.gotquestions.org/Francais/Ancien-Testament-Christ.html)

Va, me dit le Seigneur, et tu diras à ce peuple : “Écoutez, écoutez et ne comprenez pas, voyez, voyez et ne percevez pas. Épaissis le cœur de ce peuple, appesantis ses oreilles et bouche-lui les yeux, de peur qu’il ne voie de ses yeux, qu’il n’entende de ses oreilles, que son cœur ne comprenne, qu’il ne se convertisse et qu’il ne soit guéri”(Isaïe 6, 9-10).

Ce bref texte du prophète Isaïe est un des passages de l’Ancien Testament que le Nouveau Testament reprend le plus souvent. On le trouve cité de façon très claire en : Jésus vient de prononcer la première de ses grandes paraboles du Royaume, celle du semeur (Matthieu 13, 1-9). Il proclame en conclusion que ses enseignements —cette parabole capitale en particulier— ne sont pas entendus et qu’ils n’amènent aucune vision nouvelle des choses chez la plupart de ses auditeurs. Dans les passages parallèles de Marc et de Luc où la parabole du semeur est aussi donnée, Jésus cite plus ou moins longuement le texte d’Isaïe (Marc 4, 12 et de Luc 8, 10). En fait, au-delà de la mention précise, toute la parole de Jésus est, dans ces chapitres, habitée par ces versets du prophète. Jésus ne fait pas que citer les propos d’Isaïe, mis par écrit cinq ou six siècles avant lui ; il les développe d’une manière personnelle, actualisée, pour décrire exactement l’expérience qu’il connaît au moment où il parle.

Ces versets sont à nouveau repris dans un endroit stratégique : la fin des Actes des Apôtres (Actes 28, 26-27 ; suivent trois versets et les Actes se terminent). Ils constituent comme le testament spirituel de Paul, amené prisonnier à Rome. Paul essaie de convaincre ses corréligionnaires juifs, « rendant témoignage au royaume de Dieu et s’efforçant de les persuader au sujet de Jésus, à partir de la Loi de Moïse et des Prophètes, depuis le matin jusqu’au soir » (Actes 28, 23). Et comme personne ne l’entend vraiment, il s’exclame : « L’Esprit saint a bien parlé, quand il a dit à vos pères par Isaïe le prophète : “Va trouver ce peuple et dis : Vous entendrez de vos oreilles et ne comprendrez pas” . On dit parfois que les Actes se finissent sur une note « pessimiste », que Paul est déprimé par cette non-écoute des siens et que le livre se clôt pour cette raison par une citation jugée amère. C’est méconnaître les versets qui suivent et notamment le verset final : Paul continue à parler pour tous ceux qui viennent chez lui, « avec une totale liberté de parole, sans entraves » (Actes 28, 31) —ce qui est triomphant de la part d’un homme emprisonné.

Paul cite encore les versets d’Isaïe en parlant de l’incompréhension de ses proches, issus du judaïsme. C’est cette fois dans la lettre aux Romains (Romains 11, 8). La citation est assaisonnée d’autres passages bibliques du même acabit, en particulier le psaume 69, 23-24 (mentionné en Romains 11, 9-10).

En complément ces citations directes du prophète, le thème de ceux qui ne voient pas et n’entendent pas est omniprésent dans le Nouveau Testament. Il innerve déjà totalement la substance de l’Ancien Testament. La citation d’Isaïe placée en tête de cet article fait écho à bien d’autres passages de même teneur.

Un seul exemple. Moïse se rend à de nombreuses reprises chez Pharaon pour qu’il laisse partir les Hébreux. À chaque fois, Dieu avertit que Pharaon n’écoutera pas et ne tiendra aucun compte des prodiges qu’il aura pourtant vus de ses yeux. D’une manière apparemment paradoxale, Dieu répète qu’il « endurcira » le cœur de Pharaon, ou qu’il l’ « appesantira », ou qu’il le fera « s’obstiner » (voir surtout Exode 4, 21 ; 7, 3 ; 9, 12 ; 10, 1, 20 et 27 ; 11, 10 ; 14, 4, 8 et 16). Moïse a beau parler et parler encore, réaliser des miracles et déclencher des fléaux, c’est comme si Pharaon et ceux qui le soutiennent restaient muets, aveugles, engoncés dans ce qu’ils ont décidé sans que rien ne les entame. Est-ce Dieu qui endurcit le cœur du souverain d’Égypte, qui le rend sourd et non-voyant ? Oui, dans la mesure où le surcroît de vérité, d’évidence, de parole adressée a pour résultat chez beaucoup d’accentuer leur refus de voir, d’entendre, de comprendre.

Pour résumer : le prophète Moise déjà n’était pas vu, pas entendu, pas cru ….

Jusqu’à l’avènement de Jésus Christ, la position d’Israël était simple et claire dans l’Ancien Testament : d’après les Prophètes, par la grâce de Yahvé, Israël était destiné à gouverner le monde ; si les peuples serviteurs d’Israël avaient acquiescé aux nécessités divines, le temps où Israël aurait régné sur toute la terre serait advenu.

Mais là de manière inattendue un Prophète naquit en Galilée : un Prophète  lui-même issus de la race de David, et ainsi fils de l’Alliance. « Ne croyez pas que je sois venus abolir la Loi ou les Prophètes, je ne suis pas venu pour les abolir, mais pour les accomplir. » (Matt. 5:17) Et comme preuve de sa mission, il accompli une série de miracles sans précédent ; les foules fascinées le suivirent…

Mais – en cela réside l’énorme gravité de sa mission – Jésus interprétait la promesse d’une manière complètement différente et dans un sens nouveau, au point de détruire le fier édifice hébreu en le spiritualisant et l’universalisant. La réalisation des promesses furent transférées du plan matériel au spirituel ; surpassant le cadre national, elles n’étaient plus désormais seulement adressé aux Juifs, jusqu’alors les seuls bénéficiaires, mais furent étendues au monde entier.

… ce n’était pas une question de suprématie de race ou de nation, ou le triomphe d’une nation privilégiée : le peuple élu fut réduit au rang de peuple ordinaire, un parmi les autres.

La fierté religieuse et le nationalisme des autorités Rabbiniques ne permirent pas cet abaissement ; il était contraire aux promesses messianiques, et annulait la soumission de tous les royaumes de la terre à Israël. Les Grands Prêtres et les Pharisiens ne pouvaient pas tolérer un tel blasphème et une telle attaque sur leurs privilèges, et donc afin de se débarrasser de ce dangereux agitateur, le livrèrent aux Romains et le firent condamner à mort.

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la cause première selon moi si ont exclu celle du refus pour le Sanhédrin de reconnaitre Jésus comme le messie pour des raisons évidente de pouvoir

l’épisode ou Jésus chasse les marchands du Temple est le déclencheur (on ne s’attaque pas au lobby)

Jean 2, 13-23 …Comme la Pâque des Juifs approchaitJésus monta à Jérusalem. 14 Il trouva installés dans le Temple les marchands de boeufs, de brebis et de colombes, et les changeurs. 15 Il fit un fouet avec des cordes, et les chassa tous du Temple ainsi que leurs brebis et leurs boeufs ; il jeta par terre la monnaie des changeurs, renversa leurs comptoirs, 16 et dit aux marchands de colombes : « Enlevez cela d’ici. Ne faites pas de la maison de mon Père une maison de trafic. » 17 Ses disciples se rappelèrent cette parole de l’Écriture : L’amour de ta maison fera mon tourment. 18 Les Juifs l’interpellèrent : « Quel signe peux-tu nous donner pour justifier ce que tu fais là ? »19 Jésus leur répondit : « Détruisez ce Temple, et en trois jours je le relèverai. » 20 Les Juifs lui répliquèrent : « Il a fallu quarante-six ans pour bâtir ce Temple, et toi, en trois jours tu le relèverais ! » 21 Mais le Temple dont il parlait, c’était son corps. 22 Aussi, quand il ressuscita d’entre les morts, ses disciples se rappelèrent qu’il avait dit cela ; ils crurent aux prophéties de l’Écriture et à la parole que Jésus avait dite.

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Mais Jésus Christ ressuscita et son enseignement se répandit au sein du monde ancien tel un feu embrasant tout. Les Juifs dénoncèrent ses disciples aux autorités romaines, les présentant comme des rebelles à l’Empire ; Rome les persécutait sans cesse, les offrant comme nourriture aux bêtes sauvages, les brulant, les écorchant et les crucifiant. Néanmoins, la vague Chrétienne progressa sans répit, triomphant du pouvoir impérial ; puis soudain le monde vacilla et s’inclina en faveur de l’Église du Christ…

Les israélites n’ont jamais accepté et n’accepteront jamais cette défaite. La rupture fut totale et définitive ; le conflit devint à présent inévitable des deux côtés.

Et voila ce qu’il se passe malheureusement aujourd’hui en terre sainte contre les Chrétiens :

http://medias-presse.info/a-jerusalem-les-moines-benedictins-subissent-une-recrudescence-de-provocations-anticatholiques/3147

http://medias-presse.info/israel-detruit-une-propriete-du-patriarcat-latin-avec-laide-de-larmee/3469

http://www.france24.com/fr/20131106-jerusalem-israel-esplanade-mosquees-al-aqsa-mont-temple-priere-messianique-juifs-religieux-islam

Je n’aborde même pas là les persécutions anti-musulmanes perpétrées par l’Etat Hébreu (sic), il n’y a qu’à taper « actu Palestine » sur Google pour voir le désastre effectué par ces colons qui « veulent la Paix » (re-sic).

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Bon revenons à la question initiale posée en début d’article :

Le juif Ashkénaze n’est pas sémite, il est d’origine Khazar !

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La plupart des gens qui emploient à tout va le mot antisémitisme n’ont jamais tenu de livre d’Histoire dans leurs mains et n’ont pas vraiment étudié l’origine et la provenance du judaïsme et de son passé.

Nous ne nous trompons pas en affirmant que moins de deux pour cent de ces personnes ont lu le Talmud et ont eu connaissance de la teneur de la foi de ces Talmudistes. II est apparemment important de parler de ce sujet brûlant pour mettre certaines choses au clair.

Si vous voulez comprendre pourquoi les Russes, les Anglais et plus tard les Allemands ont voulue  chasser les juifs de leurs pays, vous devez en connaître la raison. Quelqu’un dans les livres d’Histoire nous a-t-il expliqué pourquoi on a persécuté les juifs ?

Pourquoi les a-t-on chassés de tous les pays et pas un autre peuple ?

Pourquoi n’y- a-t-il pratiquement que des juifs qui ont participé à la révolution bolchevique ?

Ils l’ont planifiée, financée et faite !

Pourquoi en 1995 aucun juif ne peut entrer en Malaisie ?

On ne peut nier l’implication des juifs khazars (explication suit) dans le thème conspiration mondiale. Cela n’est pas du fascisme, encore moins de l’antisémitisme, preuve à l’appui.

Depuis 40 ans le terme antisémitisme nous fait froid dans le dos dès qu’on prononce le mot juif.
On a fait croire à l’opinion publique occidentale, contrôlée par les médias, dominés par les juifs khasars, que le terme d’antisémitisme s’appliquait presque exclusivement aux juifs. En réalité un juif d’aujourd’hui est aussi sémite qu’un Américain est Grec.

Commençons par mettre de l’ordre dans les termes que nous utilisons tous les jours. Qui sont les Sémites ?

D’après le très conservateur et très explicite Oxford Universal Dictionary, le mot sémite a été employé pour la première fois en 1875, et décrit une personne qui appartient à la race englobant presque tous les peuples des descendants de Sem, le fils de Noah, d’après la Genèse, chapitre 10, de l’Ancien Testament, et dont la langue maternelle est une langue sémite – d’où les Akkadiens, les Phéniciens, les Hébreux, les Araméens, les Arabes, les Assyriens…

Dans le dictionnaire de Langer de l’Histoire du monde, il est dit que le terme de sémite ne s’applique pas à une race, mais à un groupe de peuples, dont la langue maternelle est sémite.
Le profane pourrait donc penser : Eh bien, les Hébreux sont donc des Sémites. C’est vrai. Les Hébreux sont des Sémites, mais on peut se demander quel est le lien entre les juifs et les Hébreux, les juifs d’aujourd’hui n’ont presque rien en commun avec les Hébreux. Regardons l’Histoire.

Qui sont les Hébreux ?

Les Hébreux ne viennent pas, comme on le dit souvent, de Chaldée. Ils vinrent en Chaldée comme étrangers, et ont été traités de la sorte, et chassés. Le pays d’origine des Hébreux est décrit dans le premier livre de Moïse comme étant la région entre Messa et Saphar, la montagne de l’est d’Ebal, c’est-à-dire la région de la pointe, le point le plus au sud de la péninsule arabe.

Dans l’Ancien Testament, on peut lire, comme nous venons de le dire, que Sem était le fils de Noé, ce qui est une erreur. Cela vient du fait que Néhémie et Esdras ont pris les poèmes et les légendes du vieux Babilus, les ont recopiés et les ont adaptés selon leurs intérêts en les falsifiant. (Ils ont fait pareil avec l’histoire du roi Sargon, qu’ils ont pris comme modèle pour l’histoire de Moïse, dont la véritable histoire est complètement différente. De plus, Moïse a vécu plus de 1000 ans après Sargon.)

Les Hébreux viennent donc en vérité de ce point géographique, dont parle le premier livre de Moïse 10-30, c’est à dire de l’endroit le plus étroit de la mer Rouge, tout au sud, au pied du mont Ebal. Une nouvelle tribu s’était formée à partir de peuples différents. Le chef de cette nouvelle tribu s’appelait Abil Habr, chassé de la tribu des Schabées. La tribu prit le nom de Habrites, qui devinrent plus tard les Hébreux. D’autres hommes chassés de leur tribu vinrent se joindre à cette nouvelle tribu, ainsi que des esclaves évadés. Peu à peu se forma un nouveau peuple. Ali Habr fit construire une forteresse, et partit à la conquête de l’île de Bara (Perim), qui appartenait au royaume d’Égypte. Là, il fit alliance avec les tribus éthiopiennes, les Amchars et les Kabyles. Ensemble ils conquirent le territoire des Maures jusqu’au lac Ugan Ugan (l’Ouganda actuel). Il fonda un royaume et c’est àcet endroit que ce peuple devint le peuple hébreu. Le centre de ce pays porte le nom de Habr, d’après Ali Habr.

Comme Ali Habr avait institué la polygamie, un peuple complètement nouveau émergea, constitué de mélanges de plusieurs types humains. Dans la force de l’âge, Ali Habr contracta une maladie sexuelle. À cette époque vivait un sorcier dans la tribu des Genites au pays de Sina (Sinaï). Il était connu pour faire des miracles à travers des sacrifices humains qu’il destinait à un dieu sauvage. Ali le fit venir à lui. Le sorcier introduisit le rite de la circoncision et le dieu, Jaho/Yahvé/El Schaddaï, chez les Hébreux.

C’est ce Yahvé qui apparut à Abraham, un descendant direct d’Ali, avec ces mots Ani ha El Schaddaï = Je suis El Schaddaï. Il exigea de nombreux sacrifices humains, beaucoup de guerres et fit un pacte avec les Hébreux (pacte de sang hébreu). Ali Habr développa ses conquêtes et prépara une guerre contre le pays de Habach, dont le roi était de la famille du pharaon. Le roi appela les Égyptiens à l’aide. Le pharaon Sesostris Ier envoya une flotte et une armée, les Hébreux furent battus. Les soldats du pharaon prirent aussi la forteresse de Har Habr, triomphant de leur ennemi.

Voilà l’histoire d’Ali Habr !

Tous les crimes des Hébreux se trouvent dans les livres de Moïse à Esther (celui-ci devrait s’appeler le livre de Mordekhaï (Mardochée), d’après le plus grand malfaiteur) de l’Écriture sainte, dont personne ne sait pourquoi elle s’appelle sainte alors qu’elle devrait s’appeler l’histoire criminelle des Hébreux. On peut y dénombrer plus de soixante-dix massacres et génocides, sans compter les crimes, les pillages, les viols, l’inceste et autres atrocités. Le pire est qu’aucun de ces crimes n’est jamais puni. Au contraire, c’est Yahvé qui ordonne ces méfaits, et ils correspondent bien aux principes du Talmud. Le peuple juif s’identifie malgré tout, à part quelques exceptions, sans honte, à cette loi et à son histoire sanguinaire. Mais il faut ajouter qu’aujourd’hui 95 % des juifs ne sont pas des descendants d’Hébreux ou de Sémites, mais sont un mélange de Huns et de Turcs. Ils ne viennent pas du Jourdain, mais de la Volga, pas de Canaan, mais du Caucase, et n’ont pas de liens génétiques avec Abraham, Isaac et Jacob, mais avec les Huns, les Uigoures et les Magyars. Comment est-ce possible ?

Voilà, le peuple juif se compose de deux parties, les Sefardim et les Ashkenazim. Les Sefardim sont d’origine hébraïque et ont vécu depuis l’Antiquité en Espagne (en hébreu, Séfarade), d’où ils ont été chassés au 15ème siècle.Dans l’édition de 1960 de l’Encyclopedia Judaica on trouve ces faits : En 1960 il y a 500. 000 juifs d’origine hébraïque dans le monde. Les Ashkenazim ou juifs Khazars sont au nombre de 11 millions.

Qui sont les Khazars ?

Je vais vous résumer leur histoire en quelques mots :

Les Khazars sont un peuple d’origine  turque (nord de la Turquie), dont la vie et l’histoire sont très proches du développement de l’histoire juive en Russie. Venant de Turquie, ils étaient des nomades des steppes, gui vivaient de rapines et de pillages. Au milieu du 6ème siècle ils s’établirent au sud de la Russie, bien avant la monarchie des Varègues. Le royaume khazar était à son apogée et menait constamment la guerre. Il n’y eut pas de moments pendant lesquels ils ne faisaient pas la guerre. Ils dominaient de grands territoires de la mer Noire à la mer Caspienne, et du Caucase à la Volga.
Au 8ème siècle le Chagan, le roi des Khazars, se convertit au judaïsme, ainsi que sa cour et une grande partie du peuple. La raison principale de leur acte était due à leur position géographique précaire entre l’empire romain d’Orient et les partisans victorieux de Mahomet. Les deux exigeaient des Khazars qu’ils se convertissent, les uns au Christianisme, les autres à l’Islam. Les Khazars choisirent le judaïsme, refusant les deux autres. Au cours des deux siècles qui suivirent, la plupart des Khazars se convertirent, et à la fin du 9ème siècle tous les Khazars étaient de religion juive.

Ce fut Obadiah, un successeur de Bulan sur le trône, qui renforça le royaume et affermit la religion juive. II invita des savants à s’établir dans son royaume, fonda des synagogues et des écoles. Le peuple fut introduit à la Bible et au Talmud Les Khazars utilisaient l’écriture hébraïque. Mais leur langue restait la même.

Obadiah laissa le trône à son fils Ezekiah, celui-ci le laissa à son fils Manasseh, puis vinrent Hannukah, Isaac, Moïse, Nisi, Aaron II, joseph, tous descendants directs d’Obadiah. Les Varègues de Russie, peuple d’origine scandinave, s’étaient établis à Kiev, jusqu’à la dernière bataille contre les Khazars. Les Russes gagnèrent cette ultime bataille et 4 ans plus tard ils envahirent le royaume des Khazars, à l’est de l’Azov.
Beaucoup de membres de la famille royale se réfugièrent en Espagne, d’autres en Hongrie, mais la majorité resta dans leur pays. (Jewish Encyclopedia, Volume IV, article on Chazars, page 1-5).

Le meilleur historien en matière de juifs autoproclamés d’Europe de l’Est est le professeur H. Graetz, auteur du livre History of the jews. Page 44 il explique que les Khazars exerçaient une sorte de religion fanatique, un mélange de sensualité et d’inceste. Après Obadiah il y eut un grand nombre de rois khazars, et d’après leur droit, il devait être juif. Pendant un grand laps de temps les souverains d’autres nations n’eurent pas connaissance de la conversion du royaume khazar, et quand ils l’apprirent, ils crurent que le royaume abritait les descendants des 10 tribus. Ces informations ne sont pas secrètes, elles proviennent d’un dictionnaire, The jewish Encyclopedia. Et cela prouve, mis à part 5 à 6 % de la population juive d’aujourd’hui, qu’il n’y a pas de liens directs avec les Hébreux. Donc ce ne sont pas des Sémites !
Les juifs d’origine khazars les plus connus aujourd’hui sont les Rothschild. Leur nom vient de l’enseigne (Schild en allemand) rouge (Rot), le blason des Khazars, qui se trouvait sur le magasin de Mayer Amschel Bauer, dans la rue des Juifs à Francfort.

Maintenant il est possible de répondre à une question importante : Pourquoi est ce que ce sont les juifs qui ont planifié la révolution bolchevique, gui l’ont faite et financée ? Que voulaient les juifs en Russie ?
Pour les raisons énoncées ci-avant, il est compréhensible que les Khazars, chassés par la monarchie russe, aient voulu reconquérir leur Russie.

Pour plus d’informations, dressons la liste des noms juifs/ khazars des leaders de la révolution bolchevique

Chernoff / Von Gutmann ; Trotzki / Bronstein ; Martoff / Zederbaum ; Kamhoff / Katz ; Meshkoff / Goldenberg ; Zagorsky / Krochmal ; Suchanov / Gimmer ; Dan / Gurvitch; Parvus / Helphand ; Kradek / Sabelson ; Zinovjeff / Apfelbaum ; Stekloff / Nachamkes ; Latin / Lurye ; Ryazanoff / Goldenbach ; Bogdanoff / Josse ; Goryeff / Goldmann ; Zwewdin / Wanstein ; Lieber / Goldmann ; Ganezky / Fuerstenberg ; Roshal / Solomon. (Die Absteiger, Des Griffin)

De plus, les présidents de l’Union Soviétique, Lénine, Staline, Khroutchev, Gorbachev, Eltsine, même le leader d’extrême droite Jirinovsky, sont des juifs Ashkénaze, c’est à dire des khazars !

Il est primordial de comprendre cela, car c’est bien la preuve que la notion d’antisémitisme n’a rien à voir avec ces juifs-là, elle est donc complètement déplacée. Tout le monde arabe par contre, est d’origine sémite. Le bon terme serait judéophobe. Ce sont donc ceux qui disent que les juifs d’aujourd’hui n’ont pas de rapport avec les Hébreux qui ont raison. Et ils n’ont dix fois pas le droit à un État d’Israël en Palestine ! En clair, les habitants actuels d’Israël n’ont pas de raisons et pas de droit de vivre dans un état israélien, car ils ne sont pas d’origine hébraïque ou israélite. Les juifs modernes pourraient revendiquer, tout au plus, une partie de la Russie.

Un expert de plus en la matière est Alfred Lilienthal, qui dans son livre The Zionist Connection montre à l’aide de documents, que la naissance de l’État d’Israël en 1948 a été l’aboutissement d’intrigues politiques massives entre des juifs khazars et leurs infâmes compagnons, en Angleterre et aux USA.

Ce n’est un secret pour personne que le droit de l’État sioniste à une terre s’appuie sur une loi internationale (une résolution de l’ONU de 1947 sur la répartition de la Palestine, et non pas sur l’origine hypothétique du peuple juif ou sur le pacte mythique d’Abraham avec le Dieu Yahvé ! Cette résolution a été obtenue de force par les Khazars.

Toutes les décisions viennent de New York. La plupart de nous savent qu’il y a plus de juifs à New York qu’à Jérusalem, que New York appartient à des juifs khazars (pas seulement les banques ou la Réserve Fédérale, mais aussi des immeubles, des terrains, des hypermarchés, etc.)

Le Rabbin Stephen Wise nous confirme dans son autobiographie que cette déclaration de Lilienthal est un fait historique. Jusqu’à aujourd’hui les Arabes ont été bafoués et trompés autant qu’il se peut. (Challenging Years, page 186).

Vu sous cet angle, les juifs modernes, les Khazars, sont les plus grands antisémites, car ils torturent les peuples arabes, qui sont les véritables Sémites, en menant des guerres, à travers les banques juives internationales et -les magnats du pétrole. Comprenez-vous tout, clairement ? Comprenez-vous que tout ce que vous entendez dans les médias ou que vous regardez, est le contraire de la vérité ?

Aussi la politique sioniste est-elle le fruit du travail des Khazars et non des Hébreux. Celui qui combat les sionistes n’est pas antisémite. Il est au plus antisioniste.
Même le terme Sion a été faussé par les Khazars. Les juifs s’attribuent la montagne Sion comme la montagne où habite le peuple dominateur, ce qui est grotesque. Dans la Nouvelle Bible de Jérusalem, Psaume 48, il est dit : Il est grand le Seigneur, il est comblé de louanges, dans la ville de notre Dieu, sa montagne sainte. Belle et altière, elle réjouit toute la terre. L’Extrême- Nord, c’est la montagne de Sion, la cité du grand roi. Le mot Sion est mal traduit. En hébreu on lit Sion, et on décrit la montagne Sin (sumérien), qui parle de la montagne du Nord – d’après les Templiers (Societas Templi Marcioni), la montagne de minuit, l’Allemagne actuelle. Et le Psaume 48 le dit bien : La montagne de Sion se trouve loin dans le Nord!

La plupart des gens en Europe répondraient à la question sur la signification du judaïsme, sans sourciller, que le judaïsme est la religion des juifs, donc leur système de valeurs, leur foi. Ils diraient que c’est la religion de l’Ancien Testament et qu’ils s’appuient sur les enseignements de Moïse. Malheureusement ce n’est pas la vérité !

Des banques ?

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Donnez moi le contrôle de la monnaie d’une nation, et je me moque de qui fait les lois! Amschel Mayer Rothschild (1743-1812)

Les Khasars les plus puissants et les plus célèbres sont les Rothschild, des Talmudistes zélés. Voici un petit aperçu de leur histoire :

Moïse Amschel Bauer, un joaillier et cambiste nomade, d’origine khazare, s’établit dans la ville où son fils Mayer Amschel Bauer vit le jour en 1743, à Francfort, en Allemagne. Il accroche une enseigne rouge au-dessus de son magasin, de la rue des juifs, le signe des Khazars. C’est Mayer Amschel qui changea son nom plus tard et prit le nom d’enseigne rouge. Après la mort de Moïse Bauer, Amschel Bauer commence un apprentissage dans la banque Oppenheimer à Hanovre et devient rapidement un junior partner. La pierre angulaire de la richesse de Rothschild est le fait qu’il connaît le général Von Estorff qui, à cette époque, s’occupait de la messagerie de la banque. (De nos jours les liens sont encore très étroits entre la maison Rothschild et la banque Oppenheimer). C’est par lui qu’il devient conseiller proche du prince Guillaume de Hanau. En 1770 il épouse Gutele Schnaper, qui a 17 ans, et fonde une famille de 5 garçons et 5 filles.

Rothschild, agent du marchand de chair humaine Guillaume de Hanau, qui loue ses troupes à tous les gouvernements, élabore les plans pour fonder les Illuminati de Bavière, (d’après les dires de l’officier de renseignements de la marine royale canadienne, William Guy Carr) et désigne Adam Weishaupt pour s’occuper de leur développement. À l’aide d’une somme de 3 millions $, qu’il soutire au prince Guillaume, il décide de développer ses affaires sur une plus grande échelle Il devient le premier banquier international ! Mayer Amschel lègue cet argent à son fils Nathan, qui gère les affaires de la famille à Londres et qui s’enrichit en prêtant de l’argent au duc de Wellington, quadruplant sa richesse. Fort de cette richesse, les Rothschild ouvrent des succursales à Berlin, Vienne, Paris et Naples, où ils mettent leurs fils aux commandes. Londres a été et reste toujours le siège principal des Rothschild.

Dans le testament de Mayer Amschel il est précisé que toutes les positions clé doivent être occupées par des membres de la famille, et que ceux-ci, pour conserver le patrimoine et la richesse, doivent se marier entre cousins et cousines du premier et deuxième degré. La règle a été assouplie plus tard, quand d’autres banques juives sont apparues, et que les Rothschild ont mariéleurs enfants à ces familles d’élite, pour agrandir la fortune.On sait que les Rothschild étaient des Talmudistes fanatiques, que le contenu du Talmud faisait partie des lectures quotidiennes. Des magiciens de la finance et des fins calculateurs, poussés par un instinct diabolique jusqu’au succès de leurs agissements secrets, c’est ainsi que le biographe Frederic Morton décrit Mayer Amschel et ses cinq fils. Ils n’avaient aucune pitié envers les Goyim (les étrangers) dans tout ce qui touchait leurs affaires. Après leur succès à Waterloo, ils se mirent à la conquête des ÉtatsUnis. Ils perdirent le premier round, quand le président Jackson décida de fermer la Bank of the United States, qu’ils avaient fondée, en mettant son veto. Mais ils ne lâchèrent pas prise. Ils excitèrent la haine des deux côtés pendant la guerre civile américaine de 1861-1865, financèrent les deux côtés à travers leur banques de Paris et de Londres.

En 1914 leurs deux agents principaux, Kuhn Loeb & Co et J. P. Morgan & Co, étaient bien établis aux USA. Jacob Schiff prit le commandement et appuya, à l’aide de ses relations avec les représentants allemands des Rothschild, la banque M. M Wartburg de Hambourg et d’Amsterdam, l’édification de l’empire de Rockefeller, la Standard 011, les chemins de fer d’Edward Harriman, et les aciéries de Carnegie.
En 1907 ils provoquèrent en Amérique la plus importante crise monétaire de cette époque, à travers les banques Kuhn Loeb & Co, J. P. Morgan & Co, et M. M. Wartburg, dont la conséquence fut la création de la banque centrale privée des Rothschild, la Federal Reserve Bank, avec leur agent et collaborateur de Kuhn Loeb & Co, Paul Wartburg à sa tête. (Paul Wartburg était aussi le président de I. G. Farben).

Jacob Schiff était pour les Rothschild le financier et le coordinateur de la révolution bolchevique et le financier personnel des Khazars (Trotzki et ses rebelles), afin de permettre (comme il y a 1000 ans) que les Khazars reviennent au pouvoir en Russie. Nous savons par les plans de Mazzini et de Pike que tout allait comme prévu, et qu’on avait monté de toutes pièces un scénario de guerre froide pour endormir l’opinion publique. On peut affirmer, sans exagérer, que la Russie, l’Armée rouge, appartient aux détenteurs de l’emblème des Khazars, à ceux qui portent son nom, les Rothschild.

Ce n’est que la pointe de l’iceberg des Rothschild. On comprend mieux pourquoi les 85 millions de morts du régime communiste entre 1917 et 1953 ne les ont pas touchés, alors qu’ils ont financé cette révolution. Frédéric Morton nous dit : Aujourd’hui la famille veut donner l’image d’une existence discrète et invisible. Ce qui fait que la plupart des gens croient qu’à part la légende, il ne reste pas grand chose. Les Rothschild sont satisfaits, et se laissent porter par cette légende. (The Rothschild, page 19).

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Petit rajout à l’article > Les Cartes 

Je termine cet article avec cette vidéo >

Veuillez constater que ces animateurs TV reconnaissent cette réalité . Ce qui est le plus intéressant à entendre (vers la fin) c’est ceci > Il a peut être raison, mais il n’aurait jamais du le dire…

Mais pourquoi ce commentaire ? je vous laisse répondre /chercher par vous mêmes ….

En complément interviews de Shlomo Sand  (historien israélien et professeur à l’Université de Tel Aviv) :

http://www.monde-diplomatique.fr/2008/08/SAND/16205

http://www.geostrategie.com/781/shlomo-sand-l’exil-du-peuple-juif-est-un-mythe/

Commentaire trouvé sous le dernier article :

Jésus n’était certainement pas juif pas plus qu’il n’était chrétien. Le terme Juif est tiré du mot Judas, « Yéhuda ». Or ce terme n’a aucun entendement spirituel. Cette acception a deux sens pas très particuliers: 1• descendant de Juda, et/ou 2• Judéen, càd quelqu’un originaire de la Judée (et y résidant), espace où s’était installée la tribu de Juda. Le terme juif est un terme tribal comportant uniquement une connotation raciale et géographique.

Jésus n’était pas en effet un juif, et ce pour trois raisons :
1• d’une part il était un lévite, càd descendant de la tribu de Lévy,
2• de deux, il n’était pas un judéen, mais un galiléen, puisque né à Nazareth, qui elles se trouvent au Nord de la Palestine, alors que la Judée se trouve au sud.
3• de trois le prophète Moïse ne donna jamais à la religion qu’il avait prêchée le terme judaïsme, et ne s’était jamais dit juif, étant lui aussi un lévite.

Quittons alors ces assertions raciales et parlons de spiritualité. En fait, comme dans la Bible hébraïque dit elle même qu’Abraham était un MOSHLEM (càd ami de Dieu en hébreu). Le terme hébraïque Moshlem est dérivé de Ishlam qui lui même est dérivé de Shalam (qui est la racine initiale de Shalom) en Hébreu : Moshlem / Ishlam / Shalam Arabe: Muslim / Islam / Salam Shalam pareil que Salam signifie Paix. Ishlam pareil que Islam signifie : être en alliance dans la paix. Dans le sens spirituel, Ishlam signifie être en alliance avec Dieu. Selon tous ces entendements, Abraham, Moïse, Jésus et Mohammad, ainsi que tous les prophètes étaient des Moshlemim / Muslimine / Musulmans, càd amis de Dieu soumis à Dieu et rien qu’à Dieu. Leur rébellion contre l’idolâtrie et le polythéisme allait dans le sens de cette alliance avec Dieu. Cette rébellion contre l’idolâtrie ne pouvait les amener à se substituer à Dieu, à Dieu ne plaise, en appelant leurs propres disciples à être des abrahamiques, des moïsiens, des juifs, des chrétiens, des messianiques, des mohammediens voire des mahométans. Ces prophètes ne faisaient qu’appeler à cheminer dans la voie de l’Ishalm/Islam en étant de bons Moshlem/Muslim.

Jésus n’appela pas les hébreux à l’adorer, mais à rentrer dans le vrai chemin de l’Ishlam, en respectant l’alliance que Dieu leur avait offerte par ses multiples prédécesseurs. Jésus n’avait pas été persécuté par les hébreux parce qu’il se serait dit fils de Dieu, et ce pour la simple raison qu’eux-mêmes employaient la même formule pour évoquer une alliance spirituelle avec Dieu. Jésus usa même de propos assez durs et violents à l’égard des rabbins et pharisiens, voir chapitre 13 de Matthieu, sans avoir été persécuté pour de tel propos. Si Jésus avait été persécuté par les hébreux c’était certainement pour une toute autre raison bien sérieuse qui fit abattre sur lui la colère de tout le Sanhédrin. Jésus avait du énoncer la venue d’un autre messager après lui, qui n’était pas de la lignée d’Isaac. Jésus dut annoncer la venue d’un enfant issu d’Ismaël, conformément à la promesse donnée par l’Ange Gabriel à Hagar puis confirmée à Abraham.
C’était LE COMBLE DU BLASPHEME pour ces tribalistes et racialistes primaires qui s’étaient autoproclamés peuple exclusif élu de Dieu, oubliant que l’alliance avec Dieu était une affaire d’élection spirituelle et non pas d’élection raciale. Jésus annonçait le Paraclet, le Mokhammed dont parlait Jérémie 2:7-9 (se référer au texte hébraïque et non pas aux traductions). Jésus annonçait donc aux hébreux la fin du Monopole, et en d’autre termes : la fin de tout monopole, càd, il leur promettait l’universalité de la religion. Rappelles-toi de la pierre angulaire qu’il leur avait promis qu’elle passerait à d’autres nations. [Matthieu 21:42-44] Rappelles-toi aussi qu’il leur avait prédit que le méridien de prière n’allait plus être orienté vers Jérusalem. [Jean 4:21-24] Voilà pourquoi il a été persécuté : il cassait un monopole que les hébreux croyaient racialement héréditaire. Que serait cette pierre angulaire (fondement de toute chose) si ce n’est l’alliance avec Dieu, càd l’Ishlam. Jésus promettait que l’alliance avec Dieu était ouverte à TOUS, et qu’elle allait s’annoncer par la bouche même de l’enfant banni par Sarah. Voilà pourquoi Jésus fut persécuté. Il promettait la fin d’un monopole et la fin d’un commerce. Jésus après avoir vainement tenté de réformer les hébreux, leur avait expliqué que l’élection, l’Ishlam, était ouverte à TOUT LE MONDE, ce qui valait pour eux une promesse de dépossession.
Regardes ceux qui se prétendent descendant des hébreux. Sont-ils à ton avis dans l’alliance ? Dans l’Ishlam ?!!!! Non, ils ne sont même plus croyants, mais, pis, ils continuent à perpétrer la même erreur que leurs aïeuls :, l’errance et l’aveuglement, ils continuent à pervertir l’élection spirituelle en une hérésie racialiste. Pire encore: ils n’ont plus de spiritualité, ils ont juste gardé l’hérésie racialiste. Ils se disent juifs par la race, parce que leurs mères sont juives par la race.

Rappelles-toi Moïse. Sa femme n’était pas de la tribu. Elle était une étrangère. Plus encore: elle était une « kowshite », càd une éthiopienne ; une femme de « couleur ». Les enfants de Moïse furent dans l’alliance, ils étaient des moshlem comme leur père. C’est d’eux d’ailleurs que sont issus les juifs falasha. Rappelles-toi de Sephora la femme de Moïse. Ne fut-elle pas rejetée par les racialistes proche de Moïse ?! [Deutéronome – Chapitre 28] Rappelle-toi ce qui était arrivé à ces racialistes. Ne furent-ils pas puni par Dieu en la présence de Moïse ?! [idem] Que ferait alors Dieu de racistes pas du tout croyants qui se réclament fallacieusement de Moïse par la race, alors que leurs corps, leurs âmes et leurs pensées sont éloignés spirituellement de toute alliance avec le Dieu de Moïse ?!!! Et en souillent la mémoire par leurs actes ?!! Dieu n’est pas un raciste, et il ne s’appelle pas FONCIA. L’alliance universelle c’est La Voie ; celle que tous les prophètes prêchèrent et tentèrent de préparer. L’alliance universelle c’est La Voie. Dès lors une question s’impose: Qu’était donc la voie des hébreux qui s’étaient prétendus de Moïse ? Cette voie, hélas, au lieu de chercher l’alliance spirituelle n’était constituée que de deux chemins de déviation: la terre et la race. Or, quiconque s’écarte de La Voie il en perd toutes les autres. Engagés dans la voie de la terre et de la race les hébreux furent toujours systématiquement éprouvés par Dieu dans ces deux éléments (d’une guerre à l’autre en 60 ans de vile existence).

Le Messie était venu les libérer de ces deux chemins de déviation, et les rappeler à emprunter La Voie, l’Islam, l’Alliance avec Dieu dans la paix. Or que firent-il ?! Ils ne reconnurent même pas le Messie qu’ils attendirent tant. Chez eux le Messie était un libérateur physique. Ils croyaient que le Messie était sensé les faire dominer sur les autres peuples. Or le Messie était venu les libérer des deux petits chemins bien étroits: la race et la terre, pour les mener vers La Grande Voie. Que firent-ils ? Ils persécutèrent leur Libérateur, préférant rester dans leur joug idéologique. D’ailleurs la sortie de Jésus dans une période d’occupation n’était pas un hasard. Quand on dit que l’Islam c’est être en alliance avec Dieu, cela entend aussi que c’est être soumis à Lui, et rien qu’à Lui. Quand l’homme se soumet à autre chose elle se rebelle contre lui. Quand les hébreux s’étaient soumis à la race et à la terre, leurs petits idéaux se sont systématiquement rebellés contre eux. Les sionistes aujourd’hui, majoritairement non croyants, sont en train de faire la même erreur que les aïeuls dont ils se prétendent issus : Ils se sont enfermés dans une étroite prison entourée des deux fameuses grandes murailles que sont la terre et la race. Comme cette prison est passée du rang de l’idéologie à une nature physique, Dieu la détruira comme Il avait détruit l’idolâtrie qui s’était incarnée d’une hérésie spirituelle en un veau massif bien doré et luisant.

A titre de conclusion j’appelle à méditer cette parole de Jésus, qu’un jour il avait dite à ses disciples : Evangile de Barnabé – Chapitre 99 : « lorsque Israël a aimé quelque chose au point d’en oublier Dieu, Dieu a détruit cette chose-là. Or qu’y a-t-il de plus agréable à Dieu, ici-bas, que le Sacerdoce et le Temple Saint ? Pourtant, au temps du prophète Jérémie, comme le peuple avait oublié Dieu et se glorifiait seulement du Temple parce qu’il n’y en avait pas un semblable au monde, Dieu souleva sa propre colère par Nabuchodonosor, roi de Babylone. Il fit prendre la ville sainte par l’armée et la fit brûler avec le temple sacré, si bien que les choses sacrées que les prophètes de Dieu tremblaient de toucher furent foulées aux pieds par les infidèles remplis de scélératesse ».

Ma conclusion personnelle : Le sionisme gangrenant la Palestine est condamné à disparaître, et ce de deux sortes : soit à la « Saladin », soit à la « Nabuchodonosor » : La libération à la Saladin sera humainement meilleure : la Palestine une fois restaurée, les sionistes qui ont les mains ensanglantées n’auraient qu’à rentrer à leurs pays respectifs, ceux qui ont les mains propres peuvent rester s’ils le désirent, les vrais juifs orthodoxes sont chez eux sur place, les sépharades sont également chez eux tant en Palestine que de par tout le Monde Arabe.
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Post Scriptum : Durant la prise de Jérusalem par les croisés, ceux-ci liquidèrent les juifs et les musulmans, dans un très grand bain de sang, et interdirent toute entrée des juifs à cette ville. Quand Saladin reconquit la Palestine ainsi que Jérusalem, il ne perpétra quelconque bain de sang ni ne se vengea (sauf d’un seul immonde personnage). Il avait en sus laissé le choix aux croisés de rester sur place ou de rentrer avec leurs richesses. Ce fut d’ailleurs le même Saladin qui rouvrit une seconde fois la Palestine aux juifs, en l’an 1187. La première fois, c’était Omar Ibn Al-Khattab, deuxième Calife de l’Islam, qui le fit, en l’an 637, dont le traité de paix signé par les juifs de palestine est la matrice du la diplomatie « gentleman » du monde. Soliman le Magnifique le fit également en l’an 1553 à l’égard des juifs d’Andalousie qui fuyaient l’inquisition.

Lire aussi sur le sujet :

L’HISTOIRE Occultée DES Faux Hébreux : LES KHAZARS

Version française de la lettre adressée par Benjamin H. Freedman au Docteur David Goldstein

http://moissondeselus.org/faux_hebreux_Khazars.htm